Dimanche 18 décembre 2022 à 16h00
Les Dimanches Musicaux de la Madeleine
Eglise de la Madeleine - Paris VIIIème
Chœurs Elisabeth Brasseur
Direction et hautbois solo : Antoine Sébillotte
Orgue : Jean-Paul Imbert
Trompette solo : Matthieu Magnin
Haendel : "When The Ear Heard Him", extrait de Israël en Egypte - chœur, trompette, hautbois et orgue
Haendel : "The Righteous Shall Be Had", extrait de Israël en Egypte - chœur, trompette, hautbois et orgue
Bach : Choral "Nun Komm Der Heiden Heiland" - orgue
Tartini : Concerto pour trompette, hautbois et orgue (2 mouvements)
Rameau : La Nuit - chœur
Dubois : Cantilène - Hautbois et orgue
Noël traditionnel (Bretagne) : Chanson Joyeuse de Noël - chœur, trompette, hautbois et orgue
Noël traditionnel (Poitou) : Appelons Nau - chœur, trompette, hautbois et orgue
Noël traditionnel (Antilles) : Oh La Bonne Nouvelle - chœur, trompette, hautbois et orgue
Noël traditionnel (Ukraine) : Nova Radisst Stala - chœur
Adrien Barthe : Le Berger - hautbois et orgue
Haendel : "The Trumpet Shall Sound", extrait du Messie - trompette et orgue
Bach : "Ehre Sei Dir, Gott, Gesungen", extrait de l'Oratorio de Noël - chœur, hautbois, trompette et orgue
Dimanche 18 décembre 2022, 16h00
Eglise de la Madeleine
58 Place de la Madeleine, 75008 Paris
Métro Madeleine (lignes 8, 12 et 14)
Entrée libre - Libre participation aux frais
Durée du concert : environ 1h15
Concert présenté par François-Henri Houbart
Les Dimanches Musicaux de la Madeleine
www.concerts-lamadeleine.com
Jeudi 20 octobre 2022 à 20h45
Eglise Saint Roch - Paris Ier
Chœurs Elisabeth Brasseur et Chœur Varenne
Ensemble orchestral Merag
Direction : Antoine Sebillotte, Caroline de Beaudrap
Haute-contre : Gaël Lefèvre
Ténor : Romain Champion
Israël en Egypte, HWV 54, de Georg Friedrich Haendel
Oratorio en 3 parties :
Jeudi 20 octobre 2022, 20h45
Eglise Saint Roch
296 rue Saint Honoré, 75001 Paris
Métro : Pyramides (ligne 14 ou 7) ou Tuileries (ligne 1)
Parking : Saemes Pyramides, 15 rue des Pyramides
Internet : http://www.billetweb.fr/israel-en-egypte-haendel-2
Tarifs :
Kraus - Requiem
Cimarosa - Concerto pour Hautbois
Mozart - Requiem
Samedi 4 décembre 2021 à 20h45
Eglise de Saint-Germain-des-Prés - Paris VIème
Chœurs Elisabeth Brasseur
Orchestre Hélios
Hautbois et Direction : Antoine Sebillotte
Requiem, VB 1, de Joseph Martin Kraus
Introitus - 1. Requiem Aeternam, 2. Te Decet
Kyrie - 3. Kyrie
Sequentia - 4. Dies Irae, 5. Lacrymosa, 6. Huic Ergo
Offertorium - 7. Domine Jesu Christe, 8. Qual Olim Abrahae
Sanctus - 9. Sanctus, 10. Benedictus
Agnus Dei et Communio - 11. Agnus Dei et Lux Aeterna
Concerto pour Hautbois, de Domenico Cimarosa
Requiem, KV 626, de Wolfgang Amadeus Mozart
I. Introitus - Requiem
II. Kyrie
III. Sequenz - Dies Irae, Tuba Mirum, Rex Tremendae, Recordare, Confutatis, Lacrimosa
IV. Offertorium - Domine Jesu, Hostias
V. Sanctus
VI. Benedictus
VII. Agnus Dei
VIII. Communio - Lux Aeterna
Samedi 4 décembre 2021, 20h45
Eglise de Saint-Germain-des-Prés
3 Place Saint-Germain des Prés, 75006 Paris
Métro Saint-Germain-des-Prés (ligne 4)
Internet : orchestrehelios.com
Téléphone : 06 81 44 04 32
A l'église le jour du concert à partir de 14h
Tarifs : 20 € / 30 € (catégorie unique, places non numérotées)
Compositeur-penseur, personnage aux multiples facettes, talent musical et littéraire exceptionnel, Joseph Martin Kraus (1756-1792), en dépit de sa très courte existence, aura profondément marqué son époque et jeté les bases d’une musique nationale à la cour de Suède. Il aura impressionné favorablement de grandes personnalités du monde musical et intellectuel de son temps, parallèlement au parcours de Mozart (1756-1791) dont il se distingue par bien des traits qui prouvent que d’autres créateurs de premier plan pouvaient aussi exister et s’exprimer. Haydn aura reconnu sans tiédeur son grand talent. |
Joseph Martin Kraus naît dans la petite ville de Miltenberg am Main (en Franconie, aujourd’hui en Bavière) le dimanche 20 juin 1756 et décède trente-six années plus tard à Stockholm le samedi 15 décembre 1792. Cet exact contemporain de Mozart, compositeur de grand talent, fut largement éclipsé par ce dernier. On assiste à sa réhabilitation tout à fait justifiée depuis quelques années.
Il aura fortement contribué à faire de Stockholm un des plus grands centres culturels européens. De plus, on le considère comme l’une des figures les plus curieuses et singulières du 18ème siècle.
Extrait de sa biographie écrite en 2015 par Jean-Luc Caron
Pour en savoir plus : biographie de JM Kraus
MOZART… Wolfgang Amadeus MOZART, solennel et musical, cela évoque quelques notes de certaines de ses compositions.
Amadeus (aimé de Dieu en latin), fut considéré comme un homme très sociable, élégant, attentif, tendre et raisonnable.
Né le 27 janvier 1756 à Salzbourg en Autriche, il laisse après 35 ans de vie un trésor de musiques comprenant plus de 600 œuvres.
Son père, Léopold, très érudit, ayant deviné très tôt les talents hors du commun d’Amadeus, lui enseigna la culture générale et fit son éducation musicale pendant leurs voyages dans toute l’Europe, rencontrant des compositeurs célèbres, sacrifiant sa propre carrière au seul profit de son fils.
Amadeus acquit ainsi sa maîtrise, sa perfection au service de son génie personnel. De cela, il gardera admiration et vénération pour son père.
Le 4 août 1782, dans la cathédrale Saint-Etienne de Vienne, MOZART épouse Constanze WEBER. Léopold désapprouve ce choix pensant que ce mariage peut détourner son fils de la musique et s’éloigne de lui. Ils auront 6 enfants ; seuls deux des enfants, Karl Thomas et Franz Xavier Wolfgang, survivent passée la petite enfance.
En novembre 1784, MOZART adhère à la Franc-Maçonnerie, il sera à la fois et en même temps, dignitaire maçon et décoré par le Pape Clément XIV de l'éperon d'or, ce qui pour lui, ne représentait aucune contradiction.
La même année, MOZART rencontre HAYDN, de 24 ans son aîné : c’est le coup de foudre artistique. Les deux hommes s’admirent réciproquement et se lient d’une amitié sincère et durable, unique dans l’histoire de la musique, au point que MOZART, qui considère HAYDN comme son maître, le rebaptise « Papa HAYDN » tandis qu’HAYDN le qualifie auprès de Léopold, de « plus grand compositeur que je connaisse ».
Le Requiem de MOZART sera joué à l’enterrement de HAYDN en mai 1809.
Le REQUIEM
Alors qu’il terminait deux opéras, La Clémence de Titus, La Flûte enchantée (véritable éloge et hymne à la gloire de la Franc-Maçonnerie), Le Concerto pour clarinette, Le Concerto pour cor en ré majeur ainsi que deux cantates maçonniques, dont « Lasst uns mit geschlungnen Händen » (devenue l'hymne national de la République Autrichienne), en juillet 1791, un mystérieux inconnu lui commande un Requiem. Il s’agissait du comte von WALSEGG.
MOZART, déjà submergé par le travail, s’épuise jour et nuit pour honorer cette commande et le 20 novembre 1791, s’alite, terrassé par une fièvre extrême. Privations, surmenage et maladie ont raison de lui, il s’éteint le 5 décembre sans avoir pu terminer son Requiem.
Un de ses élèves, Franz Xaver SÜSSMAYR, termina l’œuvre.
Le requiem le plus joué dans le monde est celui de MOZART. Le chœur y occupe tout du long, le devant de la scène, ce qui lui permet de déployer librement sa magnificence. Les différentes parties de l’œuvre suivent le découpage traditionnel d’un Requiem. Ainsi, dans l’Introït, la progression part des ténèbres puis s’ouvre vers les régions lumineuses. Dans le Kyrie en forme de fugue, se trouve une véritable innovation théologique quand MOZART superpose dès la première mesure l’invocation au Seigneur (Kyrie-temps éternel) et l’invocation au Christ (Christe-temps terrestre). Le dramatique Dies Irae permet au chœur d’exprimer le sentiment de peur. Le Tuba Mirum reprend la tradition salzbourgeoise. Clamé trois fois par le chœur, le Rex tremendae annonce le juge. Moment humble, suppliant, inquiet et miséricordieux, le Recordare déroule de longues phrases instrumentales. La vision dramatique du Confutatis mélange les flammes et la consolation. Le Lacrimosa même partiellement de MOZART, reste comme une berceuse de la mort. Le ton très solennel est donné dans l’Hostias. Les Sanctus, Benedictus et Agnus Dei, sont vraisemblablement bâtis sur des esquisses d’œuvres de jeunesse de MOZART.
Le Requiem reste une œuvre énigmatique et dérangeante.
ROSSINI considérait MOZART non comme le plus grand mais comme l’unique.
Si vous cherchez à comprendre MOZART, écoutez donc sa musique.
Pierre Germain, basse
Sources :
- Un regard médical sur MOZART et son historiographie par Lucien R. Karhausen.
- Histoire de W.A. MOZART. Publiée par sa veuve Constance d’après des lettres et des documents originaux. Georg Nikolaus von Nissen.
- Radio France. Le Passé composé, no 5 (mars 2003) Caroline Gohier (Sciences humaines)
- France inter. La preuve par Z. Jean-François Zygel.
- Extraits de la Correspondance complète de W. A. Mozart, édition française et traduction de l'allemand par Geneviève Geffray.
- Gil Pressnitzer. Esprits nomades.
- Philippe Manoury powered by WordPress
Jeudi 19 mai 2022 à 20h45
Eglise Saint-Honoré d'Eylau - Paris XVIème
Chœurs Elisabeth Brasseur et Chœur Varenne
Ensemble orchestral Merag
Direction : Antoine Sebillotte, Caroline de Beaudrap
Haute-contre : Gaël Lefèvre
Ténor : Romain Champion
Israël en Egypte, HWV 54, de Georg Friedrich Haendel
Oratorio en 3 parties :
Jeudi 19 mai 2022, 20h45
Eglise Saint-Honoré d'Eylau
66 bis Avenue Raymond Poincaré, 75016 Paris
Métro : Victor Hugo (ligne 2) ou Boissière (ligne 6)
Parkings : Yespark rue Lauriston, Eiffel Parking rue Boissière, Zenpark rue Saint-Didier
Internet : https://www.billetweb.fr/israel-en-egypte
Tarifs :
Choeurs d'Opéras
Jeudi 7 octobre 2021, 20h30, Eglise de la Madeleine, Paris VIIIème
Vendredi 15 octobre 2021, 20h, Théâtre de Longjumeau (91)
Samedi 16 octobre 2021, 20h, Théâtre du Blanc Mesnil (93)
Dimanche 17 octobre 2021, 16h, Théâtre de Yerres (91)
Un grand concert lyrique avec 250 choristes et 50 musiciens.
Le chef d’orchestre français Cyril Diederich réunit musiciens et chanteurs franciliens pour un rendez-vous musical où le chant choral est mis à l’honneur. Des grands chœurs d’opéras parmi les plus célèbres sont à l’affiche de ce concert. Ainsi vous voyagerez avec des belles pages lyriques signées Verdi, Mozart, Bizet ou encore Wagner. Le Paris Symphonic Orchestra est composé de musiciens tous membres de l’Orchestre de l’Opéra de Paris et des Orchestres de Radio France.
Jeudi 7 octobre 2021, 20h30, Eglise de la Madeleine, Paris VIIIème
Vendredi 15 octobre 2021, 20h, Théâtre de Longjumeau (91)
Samedi 16 octobre 2021, 20h, Théâtre du Blanc Mesnil (93)
Dimanche 17 octobre 2021, 16h, Théâtre (CEC) de Yerres (91)