Dvořák - Stabat Mater
Dimanche 18 mars 2018 Eglise Saint Marcel - Paris XIIIème Nous remercions chaleureusement les mécènes proarti, qui ont contribué à faire de ce concert une grande réussite :
Christophe Vellard et Elizabeth Vellard-Dutrieux Jean Claude Schlumberger Cédric Penet Claire Grama Jane Sidersky Violaine Cuchet Sebillotte Claude Cordier Colin Boardman Dominique Lamoureux Nicole Crestey Aodren Loué-Merme Elizabeth Velay Anna Blanc Jérôme Oddon Les Chœurs E. Brasseur ont choisi pour ce concert d’associer les chœurs Rhizomes Bagnolet et Métallos ainsi que l’orchestre Rhizomes Métallos créant ainsi un évènement musical tout à fait exceptionnel mêlant musiques traditionnelles de Géorgie, Turquie et Bulgarie qui ont inspirées Antonín Dvořák et l’œuvre magistrale qui le fit connaitre sur la scène mondiale, son Stabat Mater. Le chœur qui aura bientôt cent ans d'existence (2020) est heureux de s’associer à ces chœurs d’enfants et adultes pour ce concert. Cela correspond à une démarche humaine et fraternelle, en adéquation avec le projet de l’ensemble et qui trouve une résonnance particulière avec l’œuvre de Dvořák. Ce Stabat Mater sera dirigé par la charismatique chef de choeur et d'orchestre Sophie Boucheron et accompagné par l'orchestre Coruscant.
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Schubert - Messe D678
7 octobre 2017 - Basilique Sainte Clotilde - Paris VIIème Direction : Antoine Sebillotte Choeurs : Choeurs Elisabeth Brasseur, Choeurs Horizons Orchestre : Opalescences
1ère catégorie : 30 euros
2ème catégorie : 25 euros
Etudiants / chômeurs : 15 euros
Tarif tribu (jusqu'à 4 places derniers rangs) : 40 euros
Chers amis,
C’est dans cet esprit qu’il a composé la plupart de ses œuvres, 1819 a été l’année d’une utilisation subtile de tonalités autour du La. Entre autres compositions, il écrit neuf Danses allemandes en la bémol majeur, les Dieux de la Grèce en la mineur sur le texte de la douzième strophe de l’ode de Schiller et le Salve Regina. Le rendu de ces tonalités est une douceur chargée de nostalgie (le Paradis perdu ?). C’est dans ces mêmes tonalités qu’il commence de composer une cinquième messe qu’il appellera Missa solemnis. Il y travaille par intermittence jusqu’en septembre 1822, sans dédicataire précis. Il la remanie en 1825 et « la croit réussie ». Aussi veut-il la présenter à l’Empereur Franz et à sa nouvelle épouse, la très pieuse Caroline Augusta. Le maître de chapelle de la Cour Joseph Eybler, succédant à Salieri, estima que la messe était bonne, « mais, dira Schubert, elle n’était pas composée dans le style qu’aimait l’Empereur. Alors je me saluai moi-même et je pensai à part moi : je ne serai donc pas assez heureux pour pouvoir écrire dans le style impérial. » (2). Sans doute, pourra-t-il la faire exécuter fin 1822 à l’église d’Art Lechenfeld à Vienne, mais elle ne sera éditée qu’en 1875, longtemps après sa mort comme tant d’autres œuvres qu’il ne pourra convaincre ses éditeurs de publier. L’effectif instrumental rassemble flûtes, hautbois, clarinettes et bassons ; cors, trompettes, trombones et timbales ; cordes et orgue ; quatre solistes et un chœur mixte. La tonalité n’est pas non plus celle que l’on trouve habituellement dans une œuvre liturgique. Chaque mouvement étant en rapport de tierce avec le précédent, elle est plus romantique que classique. L’œuvre commence par un Kyrie en la bémol majeur, plein de tendresse. Elle continue avec le Gloria en mi majeur, joyeux et brillant avec tout l’effectif instrumental, la fugue finale faisant entendre l’indépendance des quatre voix du chœur. Le Credo commence en ut majeur, majestuoso accompagné par des trombones, continue en la bémol plus recueilli et s’achève sur la tonalité du début avec l’entrée des cordes qui amènent une allégresse croissante. Le retour du chœur se pose ici comme une affirmation collective de la foi. On trouve dans le Sanctus en fa majeur des réminiscences de l’innocence des trois jeunes enfants de la Flûte enchantée. L’apaisement se poursuit avec le Benedictus en fa mineur et l’entrée des cordes accompagnant l’Agnus Dei où l’on revient au la bémol majeur (2). Schubert utilise avec abondance des variations en demi-ton.
Sources :
(article écrit et documenté par Mireille Grizzo, alto au sein des choeurs Elisabeth Brasseur)
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Beethoven - Symphonie n°9, Opus 125 Jeudi 1er février 2018 Eglise de la Madeleine - Paris VIIIème Connaissons-nous vraiment cette 9ème Symphonie de Beethoven ? Mireille Grizzo, choriste alto des Choeurs Brasseur, nous la présente plus en détail :Qualifiée de titanesque, colossale, « la plus magnifique expression du génie » de Ludwig van Beethoven (1770-1827), sa 9ème symphonie impressionne par ses moments d’une grande douceur, légers ou majestueux et par l’originalité novatrice de l’écriture musicale. Objet de nombreuses interprétations, elle a inspiré le chorégraphe Maurice Béjart (1999 à Paris) ; dans le temps, la symphonie fut mise au service de nombreuses causes contradictoires. En 1984 l’Union Européenne a choisi de faire du 4ème mouvement (arrangé par Herbert von Karajan) son hymne officiel. La popularité de la 9ème ne se...
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Schubert - Messe D678 Solistes : Carole Meyer, Véronique Rapin, Christophe Einhorn, Stephan Imboden Nous poursuivons notre collaboration avec le Choeur Horizons d’Yverdon-les-Bains, les ensembles instrumentaux de Joux et Opalescences, avec ce nouveau concert le dimanche 22 octobre à 16h30 à Payerne, en Suisse.
Nous aurons le plaisir de chanter à nouveau les 3 Motets de Mendelssohn et la Messe en La bémol majeur D678 de Schubert.
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Requiem de VERDI
2 Juin 2017 - Cathédrale de Chartres 3 Juin 2017 - Eglise de la Madeleine (Paris) Concert offert par le Nottingham Symphony Orchestra Direction : Derek Williams
Choeurs : Derby Bach Choir, Nottingham Bach Choir, Derby Choral Union, Binham Choral Society, Southwell Choral Society, Wirksworth Community Choir, Cantare Niederrhein, Choeurs Elisabeth Brasseur. Orchestre : Nottingham Symphony Orchestra
Soprano : Emilie Cavallo
Mezzo : Sandra Januszewska
Ténor : Richard Roddis
Basse : Geoff Williams
Entrée Libre - Libre participation
240 exécutants
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