Les Journées du Patrimoine
Samedi 15 Septembre 2018 - 16h Eglise Saint-Pierre Saint-Paul de Montreuil (Seine-Saint-Denis) Direction : Antoine SEBILLOTTE Chœur : CHŒURS ELISABETH BRASSEUR Orgue : Gildas GUILLON Hautbois : Antoine SEBILLOTTE
A l'occasion des Journées Européennes du Patrimoine, et dans le cadre des Musicales de Montreuil,
nous aurons le plaisir de chanter à l'église Saint-Pierre Saint-Paul de Montreuil.
Au programme, deux extraits du Requiem de Fauré (Sanctus et Libera Me), quatre oeuvres pour
hautbois et orgue, et quatre motets sur des thèmes grégoriens de Duruflé.
Informations pratiques
Samedi 15 septembre 2018 à 16h00
Entrée libre
Eglise Saint-Pierre Saint-Paul
2 rue de Romainville - 93100 Montreuil
Bus et Métro (ligne 9) : Mairie de Montreuil
Plus d'info sur les site Les Musicales de Montreuil
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Les Dimanches Musicaux de la Madeleine
Dimanche 24 Juin 2018 - 16h Eglise de la Madeleine (Paris VIIIème) Direction : Antoine SEBILLOTTE Chœur : Chœurs Elisabeth Brasseur Orgue : Bruno GOUSSET Cor : Christophe VELLARD
Programme
Nous vous proposons un programme autour de quelques grandes pages chorales de Mendelssohn,
Dvořák et 2 musiciens organistes français, Saint-Saëns et Duruflé :
Felix MENDELSSOHN Camille SAINT-SAËNS Antonín DVOŘÁK Felix MENDELSSOHN - - - - - Antonín DVOŘÁK 5ème mouvement du Stabat Mater, Op. 58 : "Tui Nati vulnerati" Maurice DURUFLÉ Felix MENDELSSOHN
Concert présenté par Olivier PERIN Informations pratiques
Dimanche 24 Juin 2018 à 16h00
Durée : 1h15 environ
Eglise de la Madeleine
Place de la Madeleine, 75008 PARIS
Métro Madeleine (lignes 8, 12 et 14)
Entrée libre, libre participation aux frais
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Dvořák - Stabat Mater
Dimanche 18 mars 2018 Eglise Saint Marcel - Paris XIIIème Nous remercions chaleureusement les mécènes proarti, qui ont contribué à faire de ce concert une grande réussite :
Christophe Vellard et Elizabeth Vellard-Dutrieux Jean Claude Schlumberger Cédric Penet Claire Grama Jane Sidersky Violaine Cuchet Sebillotte Claude Cordier Colin Boardman Dominique Lamoureux Nicole Crestey Aodren Loué-Merme Elizabeth Velay Anna Blanc Jérôme Oddon Les Chœurs E. Brasseur ont choisi pour ce concert d’associer les chœurs Rhizomes Bagnolet et Métallos ainsi que l’orchestre Rhizomes Métallos créant ainsi un évènement musical tout à fait exceptionnel mêlant musiques traditionnelles de Géorgie, Turquie et Bulgarie qui ont inspirées Antonín Dvořák et l’œuvre magistrale qui le fit connaitre sur la scène mondiale, son Stabat Mater. Le chœur qui aura bientôt cent ans d'existence (2020) est heureux de s’associer à ces chœurs d’enfants et adultes pour ce concert. Cela correspond à une démarche humaine et fraternelle, en adéquation avec le projet de l’ensemble et qui trouve une résonnance particulière avec l’œuvre de Dvořák. Ce Stabat Mater sera dirigé par la charismatique chef de choeur et d'orchestre Sophie Boucheron et accompagné par l'orchestre Coruscant.
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Mendelssohn - Symphonie "Lobgesang" Samedi 9 et Dimanche 10 Juin 2018 Eglise Saint-Léon (Paris XVème) Direction : Léonard GANVERT Chœur : Chœurs Elisabeth Brasseur Orchestre : Les Concerts d'Athalie Soprano : Marion GOMAR Ténor : Romain PASCAL Programme :
Felix MENDELSSOHN-BARTHOLDY
Première Partie : Marche des Prêtres, Athalie (op. 74)
Seconde Partie : Symphonie n°2 en si bémol majeur, op. 52 "Lobgesang"
Intitulée "Chant de louange" (Lobgesang), cette "symphonie-cantate" a été composée entre 1838 et 1840
par Mendelssohn. Écrite pour chanteurs solistes, chœur, orgue et orchestre, elle comporte trois mouvements
symphoniques et un chœur final, rappelant la structure de la Neuvième Symphonie de Beethoven.
Constituée de neuf numéros, la cantate occupe cependant les deux tiers de la durée de l'œuvre.
Le texte est composé d'extraits de l'Écriture sainte et de poèmes écrits spécialement pour l'ouvrage.
Informations pratiques :
Samedi 9 Juin 2018 à 20h30
Dimanche 10 Juin 2018 à 15h30
Eglise Saint-Léon
1, place du Cardinal Amette, 75015 PARIS
Métro : La Motte Picquet-Grenelle ou Dupleix (lignes 6, 8 & 10)
Entrée libre, libre participation aux frais
Renseignements au 01.42.23.13.06 & sur http://lesconcertsdathalie.free.fr |
Schubert - Messe D678
7 octobre 2017 - Basilique Sainte Clotilde - Paris VIIème Direction : Antoine Sebillotte Choeurs : Choeurs Elisabeth Brasseur, Choeurs Horizons Orchestre : Opalescences
1ère catégorie : 30 euros
2ème catégorie : 25 euros
Etudiants / chômeurs : 15 euros
Tarif tribu (jusqu'à 4 places derniers rangs) : 40 euros
Chers amis,
C’est dans cet esprit qu’il a composé la plupart de ses œuvres, 1819 a été l’année d’une utilisation subtile de tonalités autour du La. Entre autres compositions, il écrit neuf Danses allemandes en la bémol majeur, les Dieux de la Grèce en la mineur sur le texte de la douzième strophe de l’ode de Schiller et le Salve Regina. Le rendu de ces tonalités est une douceur chargée de nostalgie (le Paradis perdu ?). C’est dans ces mêmes tonalités qu’il commence de composer une cinquième messe qu’il appellera Missa solemnis. Il y travaille par intermittence jusqu’en septembre 1822, sans dédicataire précis. Il la remanie en 1825 et « la croit réussie ». Aussi veut-il la présenter à l’Empereur Franz et à sa nouvelle épouse, la très pieuse Caroline Augusta. Le maître de chapelle de la Cour Joseph Eybler, succédant à Salieri, estima que la messe était bonne, « mais, dira Schubert, elle n’était pas composée dans le style qu’aimait l’Empereur. Alors je me saluai moi-même et je pensai à part moi : je ne serai donc pas assez heureux pour pouvoir écrire dans le style impérial. » (2). Sans doute, pourra-t-il la faire exécuter fin 1822 à l’église d’Art Lechenfeld à Vienne, mais elle ne sera éditée qu’en 1875, longtemps après sa mort comme tant d’autres œuvres qu’il ne pourra convaincre ses éditeurs de publier. L’effectif instrumental rassemble flûtes, hautbois, clarinettes et bassons ; cors, trompettes, trombones et timbales ; cordes et orgue ; quatre solistes et un chœur mixte. La tonalité n’est pas non plus celle que l’on trouve habituellement dans une œuvre liturgique. Chaque mouvement étant en rapport de tierce avec le précédent, elle est plus romantique que classique. L’œuvre commence par un Kyrie en la bémol majeur, plein de tendresse. Elle continue avec le Gloria en mi majeur, joyeux et brillant avec tout l’effectif instrumental, la fugue finale faisant entendre l’indépendance des quatre voix du chœur. Le Credo commence en ut majeur, majestuoso accompagné par des trombones, continue en la bémol plus recueilli et s’achève sur la tonalité du début avec l’entrée des cordes qui amènent une allégresse croissante. Le retour du chœur se pose ici comme une affirmation collective de la foi. On trouve dans le Sanctus en fa majeur des réminiscences de l’innocence des trois jeunes enfants de la Flûte enchantée. L’apaisement se poursuit avec le Benedictus en fa mineur et l’entrée des cordes accompagnant l’Agnus Dei où l’on revient au la bémol majeur (2). Schubert utilise avec abondance des variations en demi-ton.
Sources :
(article écrit et documenté par Mireille Grizzo, alto au sein des choeurs Elisabeth Brasseur)
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